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Dernières parutions

  • On assiste, depuis le décès d’un jeune délinquant -coutumier, semble-t-il, des refus d’obtempérer, entre autres méfaits-, au déchaînement d’une véritable hystérie anti-policière dans certains milieux, complaisamment relayée par certains organes d’information et cautionnée par l’attitude et les propos indignes autant qu’ irresponsables d’une partie de la classe politique et des…
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  • Le projet de loi « d’orientation et de programmation du ministère de la justice 2023-2027 », récemment déposé, qui prétend fixer le cap jusqu’à la fin du quinquennat, derrière le paravent de la grande opération de communication qui avait été lancée sous le nom ronflant d’ « Etats généraux de la justice» -comme un…
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  • Le garde des sceaux vient de présenter en Conseil des ministres un projet de loi organique « relatif à l’ouverture, la modernisation et la responsabilité du corps judiciaire ». Sans s’attarder dans le détail de la rédaction de ce document, touffu, il appelle, dans sa philosophie, ses orientations et son architecture générale,…
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la nouvelle association professionnelle des magistrats

              Le suicide d’une jeune magistrate, dont ses collègues évoquent la souffrance au travail,  est le déclencheur d’une réaction de grande ampleur au sein du corps judiciaire, traduite par la signature en masse, inusitée, d’une pétition dénonçant, notamment, des conditions de travail dégradées, le manque chronique de moyens et la pression de gestionnaires obsédés d’affichage statistique.

24 novembre

            Matthieu Valet, secrétaire national adjoint du syndicat indépendant des commissaires de police, a conclu sa tribune publiée dans VALEURS ACTUELLES n° 4433 du 11/17 novembre 2021, par la formule suivante, assassine : « Ne serait-ce pas finalement le système judiciaire qui a perdu l'essence même de sa mission ? »

                C’est dans un parc d’attractions (!) que M. MACRON a lancé hier sa grande opération de communication politique préélectorale sur la Justice, dite pompeusement « Etats généraux de la Justice », annonçant, sur l’air du « ça ira, ça ira », la révolution dans l’institution –qu’il persiste, par dérision et mépris affiché à appeler « service public de la justice », en oubliant qu’il s’agit d’une autorité constitutionnelle (aurait-on idée de parler du « service public du gouvernement » ou du « service public du parlement » ?!…).